Cocu . Volontaire 8 Là Elle Jouit, CEst Merveilleux
Émilie est stupéfaite, reste bouche bée, se frotte les yeux, examine le dernier arrivant, fixe longuement le milieu de son corps, me regarde puis se tourne vers Angèle, observe de nouveau lhomme nu qui vient dentrer et savance tout doucement, tenant fièrement dans sa main sa bite comme un roi tiendrait son sceptre. Il a conscience de limportance de son appendice raide et de son influence sur les femmes. Elle paraît un peu surprise; a-t-elle remarqué la ressemblance soulignée plus tôt par Angèle entre René et moi autrefois ?Elle sécrie enfin :
- Non ! Ce nest pas vrai. Vous me lamenez vraiment ? Ce nétait pas une blague. Jean, jen pleure de joie. Oh, mon Jean chéri, que tu es bon, que je taime.
Ouais; est-ce possible, maime-t-elle encore ? Une longue habitude a fait de moi « Mon Jean chéri, je taime » que même la lassitude na pas encore banni. Et peut-elle être aussi joyeuse à la perspective de soffrir devant moi à ce jeune homme doté dun braquemart de rêve. En principe nous poursuivons le même but, mais pas par les mêmes moyens. Cest elle qui va se faire mettre le truc et qui va senvoyer en lair. Je naurai que le plaisir de voir son visage illuminé par les orgasmes quelle espère. Elle se dirige vers moi, se jette à mon cou, membrasse sur les joues, sur la bouche et termine la phrase commencée :
- Jean, tu es sûr, tu veux pour de bon que je fasse lamour à cet homme ? Merci mon mari chéri, mille mercis. Je nosais pas y croire, il est là !Tu ne me ferais pas une farce
Me le montrer puis le renvoyer aussitôt serait trop cruel.
Comme elle sait mattribuer toute la responsabilité dun acte dû en réalité à son incapacité à jouir avec moi depuis quelle a découvert la virilité de lamant de sa copine. Jai tout essayé pour la décoincer. Sans succès pour les méthodes naturelles. Jai même acheté un flacon de « Héro », gel lubrifiant et chauffant que je comptais utiliser comme adjuvant dès ce soir.
- Le renvoyer nu, le sexe raide tourné vers les étoiles ? Comment peux-tu supposer une telle cruauté ? Oui, il est là, il est pour toi, pour taider à réaliser ton fantasme et pour se soumettre à tes désirs les plus fous. Nest-il pas magnifique le chevalier de tes rêves? Comme je suis content de voir éclater ta joie, ma femme adorée. Que ne ferais-je pas pour te plaire ?
Mentend-elle, comprend-elle ce que je lui dis. Déjà elle regarde ailleurs hypnotisée par le serpent menaçant quelle attend dans son sexe, puis elle réussit à en détacher le regard pour sadresser à sa bienfaitrice, la maîtresse prêteuse :
- Et toi Angèle, tu me livres ton ami, tu me lamènes à domicile pour quil puisse réveiller mes sens endormis. Viens que je tembrasse aussi. Merci à toi, merci à vous deux.
Elle rayonne de joie et va se jeter toute habillée au pied du chevalier servant:
- Tu es bien René ? Pardon, je navais pas bien examiné ton visage. Je métais concentrée sur ça. Je reconnais parfaitement ta verge. Tu permets ?
Elle sempare de la hampe à deux mains au-dessus desquelles émergent quelques centimètres du cylindre impressionnant, surmontés du gland dénudé. Elle entame aussitôt des mouvements sur ce cylindre aux veines saillantes. Son impatience est visible. Toutefois René larrête :
- Chère Émilie, ne vois-tu pas une anomalie dans cette salle ?
- Ah ? Une anomalie ? Depuis quand ?,Non. Que devrais-je voir, mon ami ? Moi ? Je ne comprends pas .
- Regarde-nous, puis regarde-toi.
- Oh! Pardon, joubliais, mes habits ? Oui, mais quattends-tu pour me les enlever?
- Je trouverais fortement symbolique que ce soit ton mari qui te dénude pour toffrir à moi.
- Jean, as-tu entendu ces paroles pleines de sagesse? Viens mon amour de mari, mets moi en état de faire lamour. Dépouille-moi, pour moi tes gestes seront une invitation à poursuivre laccomplissement de lunion de nos corps selon tes vux. Tout ce qui suivra je le vivrai en bonne épouse obéissante. Que ta volonté se fasse.
- Si javais des doutes, ils sont levés : le responsable cest moi. Je ne pourrai men prendre quà moi si échec il y a.
Angèle savance :
- Moi aussi je veux montrer mon consentement. Laissez-moi aider Jean. Comme ça René pourra se livrer sans scrupules à sa fonction de mâle révélateur. Il sera plus productif avec une conscience en paix. Dans de bonnes conditions psychologiques il peut réaliser un miracle.
Je complète :
- Que le ciel tentende, que ce jeune homme relance la libido de ma femme. Amen.
- Mes s, vous avez ma bénédiction. Baisez bien. Jean, allons-y; accorde leur aussi ta bénédiction, quils baisent le cur léger et quils explorent ensemble avec ardeur les limites extrêmes du plaisir, pour notre plus grande joie.
Angèle y va fort. Les circonstances sont exceptionnelles, mais faut-il vraiment que moi, le mari malheureux,ou le cocu heureux (je ne sais plus trop où jen suis ), je bénisse lunion de ma femme avec ce garçon à grosse queue et faut-il aussi que je forme des vux pour que ma femme connaisse des orgasmes fabuleux ? Je cède à la pression ambiante :
- Soyez heureux, je le veux.
Je me sens un peu ridicule, mais que dire dautre?
Jouvre les boutons de la blouse, Angèle la retire et laisse apparaître le soutien gorge étroit dont les seins débordent, tétins en avant.
- Ceci est la passation de pouvoirs, baissons ensemble ce string.
Le fin tissu glisse le long des jambes, accroche aux genoux, aboutit sur les pieds. Je dégage lun, René libère lautre pied juste soulevé, sempare de la boule et la hume à pleines narines: y puise-t-il une énergie supplémentaire, je vois vibrer sa queue qui tient à lhorizontale toute seule ?
René plonge sa figure sur le sexe dévoilé. Émilie émet un long feulement, le premier dune interminable série. De la tête perdue dans la broussaille du buisson de poils de son pubis et dans la fourche chaude de ses cuisses qui souvrent légèrement, lhomme, à genoux, pousse ma femme vers le canapé. Sur les genoux il avance, la fait reculer : les coups de langue sur le clitoris annihilent toute volonté de résistance.
- Ho ! Pas si vite, intervient Angèle. Il serait bon de commencer par le commencement. Vous ne vous êtes pas encore embrassés ! Debout. Saluez-vous comme des pigeons amoureux.
Inutile dinsister, dun bond ils sont debout, senlacent, soudent leurs lèvres et restent longuement collés lun à lautre de la bouche aux pieds,. Ils cherchent à frotter chaque centimètre carré de peau à la peau du partenaire de ce baiser fou. René na besoin de personne pour dégrafer le soutien-gorge et me lenvoyer, avant de serrer Émilie contre sa poitrine encore imberbe de jeune homme, de toute la force de ses bras. Et ma femme écrase avec joie ses seins contre son nouvel homme en se pendant à son cou. Je me suis juré de ne pas être jaloux, mais ma gorge se serre quand je compare la spontanéité de ses élans actuels à son peu dardeur lors de nos relations récentes : les mêmes gestes sont si différents selon quils sont inspirés par lespoir ou le désespoir.
Quand à bout de soufflent ils se détachent et se regardent dans les yeux, Angèle joue au maître de cérémonie :
Un instant, Émilie nes-tu pas curieuse de relever la différence de tes deux hommes ? Allez les garçons, placez-vous lun en face de lautre.
Avec une insouciance pour moi humiliante, mon épouse me relègue entre les mains de son amie. Cette démone est satisfaite, joue avec mon pipeau, le masturbe, souffle sur son extrémité, le lèche du scrotum au méat urinaire, enveloppe le nud entre ses lèvres, lenfonce dans sa bouche. Je visite ses gencives, lintérieur soyeux de ses joues, je fais connaissance du palais avec ma queue et jusquau fond de la gorge. Jamais je naurais osé ce quAngèle impose à mon sexe. Ce nest pas luvre dune auxiliaire. Elle accomplit avec délectation un travail damante ou de professionnelle et pousse lavantage jusquà s en me gardant longuement au plus profond de sa gorge. Quand jéchappe à lengloutissement, un long filet de salive coule sur le menton de la gloutonne. Je lève les yeux et constate que ma femme a commis les mêmes excès sur la colonne de René, elle aussi bave et se frotte les mâchoires.
- Très bien, conclut Angèle. Je pense que nous avons obtenu la meilleure érection possible, passons à la confrontation. René approche de Jean, bite en avant Lorsque tu toucheras son ventre, arrête-toi. Oui, encore un peu. Stop ! Le contact est établi. Émilie, tiens le horizontalement. Tu constates comme moi que la verge de ton mari narrive pas contre René ? Que manque-t-il en longueur ?
- Je peux placer mon index et mon majeur dans lintervalle sans toucher lextrémité du gland ou le ventre, ça doit faire trois à quatre centimètres en longueur. Et mis côte à côte ils laissent apparaître une différence de diamètre. Cest tout à fait ce que javais observé chez toi le jour où je vous ai vus.
Laquelle veut me rabaisser le plus ? Celle qui a organisé cette comparaison ou celle qui énonce aussi brutalement les résultats. Elles sont satisfaites et Angèle donne le signal du début de lessai.
- Maintenant à vous de jouer ! Bonne baise.
René reprend position, comme un bélier il pousse de la tête le pubis de sa conquête si facile. Les jambes de ma femme rencontrent le coussin dassise du canapé, une nouvelle poussée la fait asseoir, jambes pendantes et cuisses grandes ouvertes pour laccueil de la tête qui prend possession plus complète de son sexe. Il na pas décollé du pubis puis de lécart qui augmentait sous la vulve, René y reste soudé. Il lèche, il suce, il respire des grands coups avant de retourner en apnée dans ce milieu humide. Jentends plus que je ne vois les mouvements de la langue et des lèvres. Je suis debout à côté dAngèle qui commente :
-Ça est, il la tient, elle va sombrer pour de bon. Déjà le ventre sursaute. Il est capable de garder la position pendant de longues minutes. Le cunnilingus est son plat préféré. Émilie doit aimer ça, écoute-la geindre. Ce nest que le début, dans quelques minutes elle va le supplier de la prendre.
- Déjà ?
- Oui, il est irrésistible, mais il continuera , elle pleurera de plaisir, agitera ses hanches, tentera déchapper à la bouche dévoreuse. Le petit sagouin sait chauffer une femme, jen sais quelque chose. Si on faisait comme eux ?
- Qui ?
- Toi et moi. Je massieds sur cette chaise et tu me plantes ta langue dans la chatte. Je suis toute excitée par les gémissements dÉmilie et par ses soubresauts. Elle appuie sur la tête de René. Cest bon signe, elle en réclame davantage et lui se sent vainqueur, il ne lâchera pas le morceau. Écoute le bruit de succion. Mmmmmmmmm, tu , j ai envie de jouir, viens
- Pas maintenant, je veux tout voir; voir comment il travaille la moule, comment elle réagit, yeux fermés, bouche ouverte pour aspirer de lair, ou menton tremblant sous la tension des nerfs. Elle est belle hein, là elle jouit, cest merveilleux.
- Ma parole tu nas jamais rien vu. Je le répète, ce nest que le début.
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